Bling nails are a big trend right now! I don’t get to indulge in them often due to the fact that having longer nails would hinder me from performing my normal job duties. But I really love them and I have always admired them on others. I often find myself browsing the #nailart and #blingnails hashtags on Instagram.
Being that it’s my Birthday, I decided to create a set of bling nails of my own! These are press on nails! Im totally obsessed with press ons now! So easy and quick, and they look just as professional as salon nails.
Collecting the nails and tools can be a bit costly initially, but in the long run, you save so much by doing your nails yourself.
Here’s what you will need:
- Press On Nails
- Nail glue
- Nail Clippers
- Nail Files
- Nail Polish
- Gems (optional)
You will need a UV Gel curing lamp and a gel top coat should you decide to use gel polish.
11 Comments
ig
October 10, 2022 at 11:10 amIf you desire to increase your know-how just keep visiting this site and be updated with the latest information posted
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Jerri
June 5, 2022 at 4:45 amGreat site you have here.. It’s hard to find high quality writing like yours these days.
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Edwina
June 1, 2022 at 9:18 pmI take pleasure in, result in I discovered just what I was having a look for.
You’ve ended my four day lengthy hunt! God Bless you man. Have a great day.
Bye
Abby
May 22, 2022 at 10:02 pmI didn’t know that.
kamir bouchareb st
May 24, 2021 at 3:41 amnice
simon
May 23, 2020 at 10:50 ambeautiful article
fll Thank you for sharing
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anonymous
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roqya
March 27, 2020 at 7:02 amLouisa faisait des crises depuis des mois. Elle était, aux dires de ses proches, violente, se cognait contre les murs, menaçait de se donner la mort ou plutôt la voix qui sortait de sa bouche menaçait de le faire. On la disait méconnaissable. Assez pour décider en désespoir de cause de faire appel à un chasseur de démons. L’exorciste en question appelé par la famille était une personne réputée dans la ville et même au-delà, imam de la deuxième mosquée de la ville. C’est lui qui, avec assistance, a pratiqué le rituel sur la jeune fille. Pendant près de cinq heures, on a fait boire à Louisa plusieurs litres d’eau, on l’a secouée, on lui a flagellé les pieds, tenue par la gorge. Après plusieurs heures de maltraitances, elle est tombée dans le coma. Elle est décédée le lendemain à la suite de ces violences : noyade pulmonaire provoquée par l’ingurgitation massive d’eau salée. La description du rituel peut paraître délirante, et elle l’est, mais ce qui l’est encore plus quand on plonge dans cette affaire, c’est la personnalité de l’exorciste. Il n’était ni fou ni un benêt (d’ailleurs de toutes les personnes présentes pendant le rituel et poursuivies par la justice, personne n’a été jugé irresponsable de ses actes). L’exorciste était présenté comme un homme poli et courtois, impliqué dans la tranquillité des quartiers pour l’implication citoyenne des jeunes. Il faisait en fait partie de cette génération de jeunes qui voulait s’impliquer dans le culte d’une manière différente que celle de leurs parents, venus d’Algérie après la guerre, ne prêchant pas en français, et qui pratiquaient une religion très imprégnée des croyances du « bled ». L’exorciste, lui, prêchait en français, mais surtout il est arrivé à Roubaix au début des années 1990 auréolé du très prestigieux diplôme de théologie de Médine. C’était l’un des premiers Français à revenir en France avec le bagage théologique saoudien. Lui, comme d’autres, allait ramener en France une nouvelle offre religieuse, mais qui pouvaient prédire à l’époque l’influence qu’aurait ici l’islam saoudien ? Tout le monde avait alors les yeux rivés vers l’Algérie, l’Iran, mais pas l’Arabie saoudite. L’Arabie saoudite était pour le grand public tout au plus un partenaire commercial, un excellent débouché pour les armements français. C’est d’ailleurs assez drôle rétrospectivement de se dire que l’année de la mort de Louisa, les ministres du gouvernement Balladur concluaient les contrats pour la vente de frégates Sawari. Et tout ce que cet argent charrierait de plomb et de sang, on ne le saurait bien plus tard, qu’aujourd’hui précisément.
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